mercredi 16 mars 2011

La CFE-CGC ne signe pas la déclaration commune relative au front national

La CFE-CGC ne signe pas la déclaration commune relative au front national

En effet la CFE-CGC est un syndicat apolitique, nos militantes et militants oeuvrent dans les entreprises et dans les 3 fonctions publiques dans l’intérêt de tous.

Nous ne mélangeons pas politique et syndicalisme, chacun son rôle, chacun sa place.

Un militant CFE-CGC qui ferait référence à son appartenance syndicale au moment de se présenter sur une liste politique, quel que soit le parti politique, serait automatiquement démandaté. Nos statuts sont explicites en la matière.

La CFE-CGC préfère consacrer toute son énergie à faire des propositions pour tous les salariés et les agents des 3 fonctions publiques en matière d’emploi, de salaires, de formation tout au long de la vie et d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.

Le quotidien de nos militantes et militants est de lutter contre toute forme de discrimination dans les entreprises et dans les 3 fonctions publiques.

Notre objectif est d’offrir à chaque salarié et agent des 3 fonctions publiques une perspective d’avenir grâce à notre syndicalisme de propositions.


CFE-CGC
59 rue du Rocher 75008 Paris ( 01 55 30 12 12 www.cfecgc.org

Contacts CFE-CGC

Secrétaire Nationale

Marie Françoise Leflon - ( : 06 77 94 25 77

Service Communication Pierre Jan ( : 01 55 30 12 92

Fax : 01 55 30 12 60 Mél : pierre.jan@cfecgc.fr



lundi 3 janvier 2011

Que 2011 soit meilleure que 2010 !

La CFE-CGC Radio France vous souhaite, ainsi qu'à celles et ceux qui vous sont cher(e)s, le Meilleur (voir ci-dessous) pour 2011 !!




jeudi 23 décembre 2010

Joyeuses fêtes de fin d'année !

La CFE-CGC Radio France vous souhaite, ainsi qu'à tous vos proches, d'excellentes fêtes de fin d'année !

Nous vous donnons rendez-vous en 2011...


mardi 2 novembre 2010

Martyr, c'est pour rire... un peu !

Ainsi, après Raphaël Mezrahi, c'est Gérald Dahan qui vient d'être remercié par la Direction de France Inter.

Ainsi, notre "billet d'humeur" du 3 septembre dernier s'est enfin révélé exact.

2 mois pour se rendre compte d'une erreur de casting... c'est long, surtout lorsque l'on a en charge une des plus grosses radios de France, de surcroît financée par l'argent public.

Et nous voyons déjà certains éditorialistes prêts à élever Monsieur Dahan au titre -si envié ces derniers mois- de "Martyr du Sarkozisme", titre dont les dividendes seront intégralement versés en cas de victoire de la gauche en 2012 !

EH BIEN NON !! Monsieur Dahan a été remercié car son humour ne correspond pas à la ligne éditoriale de France Inter... et certainement pas parce qu'il a fait tel ou tel papier "un peu" osé contre un(e) ministre en exercice !

Y voir là une quelconque allégeance au pouvoir en place n'est qu'onanisme et dictature intello-gaucho-hystérique...

Gageons que les prochains recrutements se feront sereinement, sans la pression d'une intelligentsia si prompte à brûler ce qu'elle a aimé, voire adoré... ou à sacraliser ce qu'elle a détesté, voire vilipendé !
Relire les papiers de ces mêmes éditorialistes-journalistes, sur ce même Gérald Dahan, il y a deux mois !!


vendredi 8 octobre 2010

Le Conseil Constitutionnel donne raison à la CFE-CGC, suite à l'attaque de FO !

Conseil constitutionnel: La CFE-CGC confortée !

Le syndicat FO de la société Robert Bosch France, pour contester les modalités d’élections professionnelles applicables du fait de la loi du 20 août 2008, a fait saisir en juillet 2010 le Conseil constitutionnel. FO arguait une rupture d’égalité de traitement entre le syndicat catégoriel de l’entreprise, la CFE-CGC, et les organisations inter-catégorielles.

Dans sa décision rendue le 7 octobre 2010, le Conseil constitutionnel a validé les dispositions de la loi du 20 août 2008 propres à la représentativité des organisations syndicales catégorielles affiliées à une confédération syndicale catégorielle. Il précise : « En prévoyant que, pour les organisations syndicales catégorielles, le seuil de 10 % est calculé dans les seuls collèges dans lesquels elles ont vocation à présenter des candidats, le législateur a institué une différence de traitement en lien direct avec l’objet de la loi. Il n’a pas méconnu le principe d’égalité ».

Dans un communiqué, Bernard Van Craeynest, président de la CFE-CGC, a pris « acte » de cette décision qui « conforte 66 ans de représentation et de défense des salariés de l’encadrement » ; « cela permet à la CFE-CGC de poursuivre la construction de son avenir en toute indépendance et avec sérénité ».

Reste que la loi du 20 août est une « marche très haute » à franchir, a-t-il déclaré à la presse, le 8 octobre. Jusqu’à l’étape de 2013, il faudra démontrer la représentativité de l’organisation dans tous les champs d’actions, qu’il soient privés, y compris dans les TPE, ou publics. Il s’agit de « faire face à ces défis et de travailler à renforcer l’implantation de la CFE-CGC en agissant sur le terrain ».

Ne pas être pris au dépourvu

« Nul ne peut prévoir l’avenir », rappelle Bernard Van Craeynest. La loi d’août 2008 est en phase de rodage, elle comporte « des imperfections et des manques, notamment quant aux périmètres des secteurs auxquelles elle s’applique ». Elle cumule les difficultés dans la comptabilisation des voix et, déjà, 180 000 PV d’élections font l’objet, pour une part importante, d’anomalies critiques. Face à ces incertitudes, la CFE-CGC ne prendra pas le risque de se « retrouver dans une impasse » et veut « rester maître de son destin ». Conformément aux engagements du congrès national de février 2010, la Confédération réfléchit à la constitution d’une nouvelle organisation « réceptacle » des aspirations des salariés pour, le cas échéant, ne pas être pris au dépourvu après la stabilisation de la loi. Bernard Van Craeynest précise : « Notre volonté est de valoriser notre expérience de représentation de l’encadrement. Nous voulons conserver notre capacité d’agir sur le plan national, nous ne voulons pas être cantonnés dans un champ d’actions restreint ! ». Cette démarche peut « troubler » certains de nos militants : « cela vaut mieux que de se reposer sur une situation passée, alors que les règles du jeu ont complètement changé ! Nous voulons jouer un match complet, sur tout le terrain, et ne pas nous limiter à la surface de réparation ! ».

Hélas ! les concepteurs de la loi de 2008, en délimitant quatre champs de représentativité (construction, commerce, services, industrie) ont considéré que « l’intendance suivrait », sans se soucier des modes opératoires. Compte tenu de la multiplication des contentieux électoraux qui vont suivre, Bernard Van Craeynest estime « peu probable » que 2013 soit une date couperet : « on voit mal un gouvernement, quel qu’il soit, avec des règles si peu précises, éliminer telle ou telle organisation syndicale alors que les critères de sélection, mal fixés au départ, ont évolué en cours de route… ».

Retraite ; la CFE-CGC ne signe pas le communiqué intersyndical du 8 octobre 2010

La CFE-CGC ne signe pas le communiqué de l'intersyndicale réunie ce 8 octobre 2010 : son objectif est de réussir la mobilisation et les manifestations du 12 octobre.
Elle fera connaître, le 13 octobre, les suites qu'elle entend donner à la mobilisation.
D'ores et déjà, la CFE-CGC refuse toute grève reconductible ou généralisée qui pourrait affaiblir nos entreprises dans un contexte de crise économique persistant et avoir des conséquences en matière d'emplois et de délocalisations...
Merci
Le service communication CFE-CGC

mercredi 15 septembre 2010

L'avenir des retraites concerne tous les syndicats, ou presque !

Alors que la journée d'action nationale du 7 septembre 2010 a rassemblé l'ensemble des syndicats, CFE-CGC comprise (en tête de cortège à Paris...), à Radio France nos collègues nous ont oubliés, pour ne pas dire "boycottés" !
Ci dessous, la lettre ouverte signée par tous les syndicats nationaux, à l'exception de Force Ouvrière.


Ci-dessous, à présent, l'appel lancé par "toutes" les organisations syndicales de Radio France, à l'exception de la CGC, non conviée-sollicitée-contactée-invitée...


Puisque certains syndicats considèrent la CGC Radio France persona non grata, nous saurons nous en souvenir, le moment venu.
Nous rappelons humblement à certain(e)s de nos collègues que, qu'ils(elles) le veuillent ou non, la CGC sera conviée au moment de la négociation du prochain protocole d'accord préélectoral.
Notre solidarité de 2009, concernant les multiples CE à Radio France, ne sera certainement plus à l'ordre du jour en 2012.
Cette fois, les "ambassadeurs/drices" envoyé(e)s pour nous implorer de maintenir les CE en régions, trouveront porte close !
Certain(e)s se rappelleront alors que la CGC Radio France existe toujours... mais trop tard !