jeudi 23 décembre 2010

Joyeuses fêtes de fin d'année !

La CFE-CGC Radio France vous souhaite, ainsi qu'à tous vos proches, d'excellentes fêtes de fin d'année !

Nous vous donnons rendez-vous en 2011...


mardi 2 novembre 2010

Martyr, c'est pour rire... un peu !

Ainsi, après Raphaël Mezrahi, c'est Gérald Dahan qui vient d'être remercié par la Direction de France Inter.

Ainsi, notre "billet d'humeur" du 3 septembre dernier s'est enfin révélé exact.

2 mois pour se rendre compte d'une erreur de casting... c'est long, surtout lorsque l'on a en charge une des plus grosses radios de France, de surcroît financée par l'argent public.

Et nous voyons déjà certains éditorialistes prêts à élever Monsieur Dahan au titre -si envié ces derniers mois- de "Martyr du Sarkozisme", titre dont les dividendes seront intégralement versés en cas de victoire de la gauche en 2012 !

EH BIEN NON !! Monsieur Dahan a été remercié car son humour ne correspond pas à la ligne éditoriale de France Inter... et certainement pas parce qu'il a fait tel ou tel papier "un peu" osé contre un(e) ministre en exercice !

Y voir là une quelconque allégeance au pouvoir en place n'est qu'onanisme et dictature intello-gaucho-hystérique...

Gageons que les prochains recrutements se feront sereinement, sans la pression d'une intelligentsia si prompte à brûler ce qu'elle a aimé, voire adoré... ou à sacraliser ce qu'elle a détesté, voire vilipendé !
Relire les papiers de ces mêmes éditorialistes-journalistes, sur ce même Gérald Dahan, il y a deux mois !!


vendredi 8 octobre 2010

Le Conseil Constitutionnel donne raison à la CFE-CGC, suite à l'attaque de FO !

Conseil constitutionnel: La CFE-CGC confortée !

Le syndicat FO de la société Robert Bosch France, pour contester les modalités d’élections professionnelles applicables du fait de la loi du 20 août 2008, a fait saisir en juillet 2010 le Conseil constitutionnel. FO arguait une rupture d’égalité de traitement entre le syndicat catégoriel de l’entreprise, la CFE-CGC, et les organisations inter-catégorielles.

Dans sa décision rendue le 7 octobre 2010, le Conseil constitutionnel a validé les dispositions de la loi du 20 août 2008 propres à la représentativité des organisations syndicales catégorielles affiliées à une confédération syndicale catégorielle. Il précise : « En prévoyant que, pour les organisations syndicales catégorielles, le seuil de 10 % est calculé dans les seuls collèges dans lesquels elles ont vocation à présenter des candidats, le législateur a institué une différence de traitement en lien direct avec l’objet de la loi. Il n’a pas méconnu le principe d’égalité ».

Dans un communiqué, Bernard Van Craeynest, président de la CFE-CGC, a pris « acte » de cette décision qui « conforte 66 ans de représentation et de défense des salariés de l’encadrement » ; « cela permet à la CFE-CGC de poursuivre la construction de son avenir en toute indépendance et avec sérénité ».

Reste que la loi du 20 août est une « marche très haute » à franchir, a-t-il déclaré à la presse, le 8 octobre. Jusqu’à l’étape de 2013, il faudra démontrer la représentativité de l’organisation dans tous les champs d’actions, qu’il soient privés, y compris dans les TPE, ou publics. Il s’agit de « faire face à ces défis et de travailler à renforcer l’implantation de la CFE-CGC en agissant sur le terrain ».

Ne pas être pris au dépourvu

« Nul ne peut prévoir l’avenir », rappelle Bernard Van Craeynest. La loi d’août 2008 est en phase de rodage, elle comporte « des imperfections et des manques, notamment quant aux périmètres des secteurs auxquelles elle s’applique ». Elle cumule les difficultés dans la comptabilisation des voix et, déjà, 180 000 PV d’élections font l’objet, pour une part importante, d’anomalies critiques. Face à ces incertitudes, la CFE-CGC ne prendra pas le risque de se « retrouver dans une impasse » et veut « rester maître de son destin ». Conformément aux engagements du congrès national de février 2010, la Confédération réfléchit à la constitution d’une nouvelle organisation « réceptacle » des aspirations des salariés pour, le cas échéant, ne pas être pris au dépourvu après la stabilisation de la loi. Bernard Van Craeynest précise : « Notre volonté est de valoriser notre expérience de représentation de l’encadrement. Nous voulons conserver notre capacité d’agir sur le plan national, nous ne voulons pas être cantonnés dans un champ d’actions restreint ! ». Cette démarche peut « troubler » certains de nos militants : « cela vaut mieux que de se reposer sur une situation passée, alors que les règles du jeu ont complètement changé ! Nous voulons jouer un match complet, sur tout le terrain, et ne pas nous limiter à la surface de réparation ! ».

Hélas ! les concepteurs de la loi de 2008, en délimitant quatre champs de représentativité (construction, commerce, services, industrie) ont considéré que « l’intendance suivrait », sans se soucier des modes opératoires. Compte tenu de la multiplication des contentieux électoraux qui vont suivre, Bernard Van Craeynest estime « peu probable » que 2013 soit une date couperet : « on voit mal un gouvernement, quel qu’il soit, avec des règles si peu précises, éliminer telle ou telle organisation syndicale alors que les critères de sélection, mal fixés au départ, ont évolué en cours de route… ».

Retraite ; la CFE-CGC ne signe pas le communiqué intersyndical du 8 octobre 2010

La CFE-CGC ne signe pas le communiqué de l'intersyndicale réunie ce 8 octobre 2010 : son objectif est de réussir la mobilisation et les manifestations du 12 octobre.
Elle fera connaître, le 13 octobre, les suites qu'elle entend donner à la mobilisation.
D'ores et déjà, la CFE-CGC refuse toute grève reconductible ou généralisée qui pourrait affaiblir nos entreprises dans un contexte de crise économique persistant et avoir des conséquences en matière d'emplois et de délocalisations...
Merci
Le service communication CFE-CGC

mercredi 15 septembre 2010

L'avenir des retraites concerne tous les syndicats, ou presque !

Alors que la journée d'action nationale du 7 septembre 2010 a rassemblé l'ensemble des syndicats, CFE-CGC comprise (en tête de cortège à Paris...), à Radio France nos collègues nous ont oubliés, pour ne pas dire "boycottés" !
Ci dessous, la lettre ouverte signée par tous les syndicats nationaux, à l'exception de Force Ouvrière.


Ci-dessous, à présent, l'appel lancé par "toutes" les organisations syndicales de Radio France, à l'exception de la CGC, non conviée-sollicitée-contactée-invitée...


Puisque certains syndicats considèrent la CGC Radio France persona non grata, nous saurons nous en souvenir, le moment venu.
Nous rappelons humblement à certain(e)s de nos collègues que, qu'ils(elles) le veuillent ou non, la CGC sera conviée au moment de la négociation du prochain protocole d'accord préélectoral.
Notre solidarité de 2009, concernant les multiples CE à Radio France, ne sera certainement plus à l'ordre du jour en 2012.
Cette fois, les "ambassadeurs/drices" envoyé(e)s pour nous implorer de maintenir les CE en régions, trouveront porte close !
Certain(e)s se rappelleront alors que la CGC Radio France existe toujours... mais trop tard !

vendredi 3 septembre 2010

Les "humoristes" sur France Inter: les absents ont toujours tort !

Ainsi, c'est la rentrée... école, travail, impôts, factures, médias... donc, radio...donc de France Inter !

Nous attendions avec une impatience fébrile, il faut bien le reconnaître, la première intervention de Monsieur Gérald Dahan, imitateur Ô combien célèbre de "Monsieur Jacques Chirac qui demande par téléphone à Zinédine Zidane de dire à ses copains de l'équipe de France de mettre leur main sur le coeur pendant la Marseillaise"...tiens, ça fait tout drôle d'écrire ces lignes aujourd'hui, vendredi 3 septembre 2010, puisque ce soir, la "nouvelle" équipe de France fait aussi sa rentrée officielle... et on nous annonce qu'elle va chanter la Marseillaise !! La main sur le coeur ??
Pour en revenir à Gérald Dahan... ah si, il fait aussi très bien Fabrice Luchini: "c'est énorme" ! Eh bien pour sa toute première chronique hier, respect: son imitation -il faut bien l'avouer exceptionnelle- de "l'homme invisible" nous a bluffés... vivement son imitation de "l'homme canon", de "l'homme qui a vu l'homme qui..." ou encore du Mime Marceau, radiophoniquement impayable !!

Quant à Monsieur Raphaël Mezrahi, autre imitateur célèbre... ah non ? il n'est pas imitateur ? Pourtant ce sont bien ses imitations de Pierre Desproges qui l'ont rendu célèbre !? Eh bien quant à Monsieur Mezrahi donc, nous nous demandons encore pourquoi Monsieur Philippe Val est allé le chercher.

Mais bon, peut-être n'avons nous rien entre les oreilles ?

Attendons, patientons, laissons du temps au temps...une émission, une chronique, une voix ne s'installent pas du jour au lendemain...sauf en cas de talent bien sûr, mais malheureusement le mercato est bel et bien fini !!


samedi 24 juillet 2010

COM 2010-2014: Le CSA émet des réserves quant au "repositionnement" musical de FIP !

Le parlement vient d'approuver le COM 2010-2014 de Radio France.

Dans ce "Contrat d'Objectif et de Moyens", la direction de Radio France souhaite "repositionner" la programmation musicale de FIP sur le Jazz et la Musique Classique.

Le CSA "s'interroge sur la pertinence de ce recentrage, en opposition avec l'éclectisme et la diversité des genres musicaux exposés jusqu'à présent sur l'antenne" (voir dépêche AFP)

Nous rejoignons le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel dans cette analyse !

Nous, auditeurs de FIP depuis le premier jour, station grâce à laquelle nous avons découvert des artistes et des styles musicaux venus des 5 continents... sommes étonnés de constater que la direction de Radio France espère booster l'audience en jouant la seule carte Jazz/Classique !?

Oserons-nous rappeler à nos décideurs qu'il existe déjà des concurrents solides, en matière de Jazz et de Classique:
- TSF Jazz progresse et fait jeu égal, en matière d'audience sur Paris, avec FIP (chiffres ici)
- France Musique est à un demi point derrière Radio Classique (cliquez pour consulter le dernier sondage Médiamétrie)

Selon le Ministère de la Culture, les ventes de disques de musique Classique représentent entre 4 et 5% du marché, pour 2,5 à 3% pour le Jazz.
Si on additionne les fourchettes hautes de ces deux "segments" (puisqu'on parle d'audience et de chiffres, soyons concrets...), on peut dire que le Jazz et le Classique représentent à eux deux 8 % maximum de la musique écoutée en France. On peut parler de "niche" !

Par conséquent, il nous semble pour le moins "suicidaire" de consacrer une station de Radio France à ces seuls styles de musique.

Si on voulait vraiment innover, être "précurseur"... on pourrait tout aussi bien consacrer cette chaîne "marque" de Radio France à la musique "Live" (en public) exclusivement... tout type de live: jazz, variété francophone et internationale, world music ("autres musiques": Brésil, Afrique, Asie, Balkans, Antilles...), pop, rock, régional (Bretagne, Corse...), classique... et redonner ainsi à FIP ses lettres de noblesses originelles: éclectisme, originalité, rareté ("pépites" introuvables), innovation, qualité du son (les enregistrements live sont de nos jours excellents)... car après tout... "le live, c'est la vie" !

Alors, FIP 100% Live ? Chiche...



mercredi 30 juin 2010

dimanche 27 juin 2010

Marre du "politiquement incorrect" !

Alors comme ça, dans la radio de service publique, les dirigeants n'ont plus le droit de diriger, de prendre des décisions, de mettre fin à un contrat de grille ?

Alors comme ça, à Radio France, dès qu'on insulte ses patrons et surtout le Président de la République (actuel, bien sûr...), on devient intouchable... voire un martyr si on ose vous dégager ?

Curieusement, depuis que Radio France existe... et ses syndicats avec, on n'a jamais entendu un tel raffut pour deux contrats de grille non renouvelés !?
Et pourtant il y en a eu, des producteurs/trices et des animateurs/trices remercié(e)s... mais ils/elles n'étaient pas devenu(e)s des symboles de la "résistance" !
Mais résistance à quoi ? A la démocratie ? Trop courageux...

Non vraiment, les mots esprit et humour n'ont pas le même sens pour nous !
N'est pas Pierre Desproges qui veut... étonnant non ?

Mais rassurez-vous, braves gens, ces humoristes seront encore visibles (et donc audibles...) de nombreux mois dans des salles payantes... ah oui, sur France Inter, c'était gratuit !
Enfin, pas pour tout le monde... il s'agit là d'argent public !!

Vous l'aurez donc compris, au risque de choquer nos confères et soeurs: nous soutenons Messieurs Jean-Luc Hees et Philippe Val, qui ont le courage de faire leur métier...et de prendre leurs responsabilités, ce qui n'est pas toujours le cas de tout le monde dans cette belle Maison ronde.

La CFE-CGC ne s'associera donc pas à l'intersyndicale qui appelle à manifester ce jeudi !


mercredi 23 juin 2010

Retraites: résolution du comité directeur de la CFE-CGC

Paris, mercredi 23 juin 2010

La CFE-CGC est consciente que le dossier retraites doit se traiter en trouvant des réponses liées aux contraintes démographiques et en mettant en œuvre de nouvelles ressources financières.

Le projet du gouvernement ne pérennise pas le système de retraite par répartition, notamment vis-à-vis des jeunes générations.

Le volet recettes est très largement insuffisant.

La CFE-CGC exige davantage de financements affectés aux retraites, notamment :

· En mettant fin aux exonérations de charges patronales qui n’atteignent pas l’objectif fixé ;

· En élargissant l’assiette par la mise en place d’une cotisation sociale sur la consommation affectée ;

· En triplant la taxation des retraites chapeau et des stocks options…

La CFE-CGC réaffirme que l’emploi reste le cœur du problème :

§ La CFE-CGC exige l’ouverture immédiate d’une négociation sur les conditions d’emploi et la qualité de vie au travail.

§ La CFE-CGC demande une vraie prise en compte des seniors dans l’emploi permettant une réelle évolution de carrière et l’accès à la formation jusqu’à la retraite.

La CFE-CGC revendique :

- l’instauration d’un bouclier retraite pour arrêter l’érosion des pensions et garantir ainsi un niveau de vie en retraite décent ;

- la mise en place d’une véritable égalité salariale entre les femmes et les hommes, assortie de sanctions financières pour les entreprises qui ne respectent pas cette obligation légale ;

- l’intégration de l’ensemble des éléments de rémunération des agents des Fonctions publiques pour le calcul de la retraite ;

- la prise en compte des années d’études supérieures ;

- la reconnaissance des risques psychosociaux comme facteur de pénibilité ;

- l’absence de conditions de ressources pour les pensions de réversion et le cumul possible avec un emploi ;

- une meilleure prise en compte des polypensionnés ;

- le maintien du dispositif des carrières longues.

Si ces conditions ne sont pas réunies, la CFE-CGC ne peut envisager le report de l’âge légal.

La CFE-CGC est fermement opposée à tout allongement de durée de cotisation au-delà des 41,5 annuités prévues par la loi Fillon de 2003.


vendredi 18 juin 2010

Retraite: une recette à peaufiner !

Face au poids de la démographie sur nos régimes de retraite et à un déficit trop lourd à rattraper, une réforme est inéluctable.

Hélas ! le compte n’y est pas : le projet proposé par le gouvernement n’atteindra pas l’objectif d’équilibre visé, en particulier en termes de recettes. La CFE-CGC l’a redit ce matin au ministre du Travail : il est temps de diversifier les sources de financement du système, de ne plus se contenter de cibler encore et toujours les seuls revenus des salariés pour faire contribuer ceux du capital, les gains des stock-options ou des retraites chapeau, aller vers une TVA sociale affectée et mettre fin aux déductions injustifiées de charges patronales qui manquent cruellement à la retraite. C’est une question non seulement de bonne gestion, mais aussi de justice !

La CFE-CGC a insisté auprès d’Éric Woerth sur trois de ses revendications :

- la nécessité d’installer un « bouclier retraite », seuil minimal de pension en dessous duquel on ne peut descendre ;

- la prise en compte des périodes d’études dans les annuités nécessaires à la retraite, afin de ne pas pénaliser ceux qui, par leur formation souvent longue, contribuent aussi à la croissance du pays et au financement de la solidarité ;

- poursuivre les efforts pour un traitement égal entre les hommes et les femmes, notamment en termes salariaux, et permettre aux femmes ne bénéficiant que de petites retraites de pouvoir cumuler leur pension de réversion avec un emploi.

La solidarité, sous toutes ses formes, doit guider gouvernement et Parlement dans la réflexion qui s’étalera jusqu’en octobre. La CFE-CGC continuera jusque là sa démarche de conviction par le dialogue.

Elle n’oublie pas qu’une autre échéance aura des conséquences majeures pour les futurs retraités, notamment du personnel d’encadrement : l’équilibre à atteindre, aussi, dans le financement des régimes complémentaires de retraites AGIRC-ARRCO…

La CFE-CGC ne laissera pas destabiliser cet ensemble : la retraite par répartition est le seul garant d’une solidarité intergénérationnelle qu’il faut maintenir par un financement juste et pérenne.


mercredi 26 mai 2010

RETRAITE: l'espérance de vie des cadres ? argument fallacieux !

Les taux de mortalité sont formels : les cadres vivent sept ans de plus que les ouvriers, il faut donc qu’ils paient plus ou plus longtemps pour leur retraite. Beaucoup le réclame.
Mais ce constat repose sur un faux argument : si les cadres meurent sept ans plus tard que d’autres, c’est une observation faite à l’instant T. Les cadres dont on comptabilise les décès ont eu des carrières professionnelles il y a trente ans au moins. Depuis, les conditions de travail ont considérablement changé.

Le temps de travail a été modifié à la baisse pour certains et à la hausse pour d’autres (le forfait des cadres autorise jusqu’à treize heures de travail par jour !).

Indiscutablement, les effets du stress et des risques psychosociaux n’impactent pas partout et sur tous de la même manière : il faut prendre en compte la pénibilité en rapport avec les effets du stress. Des études démontrent l’impact du stress sur la durée de vie.

En tout état de cause, si la durée de vie est le reflet des conditions de vie et de travail (on a vu des modifications significatives dans certains pays lors des changements de régime), l’estimer au doigt mouillé et en tirer des conclusions pour arrêter des montants de cotisations est une aberration scientifique. Ou alors, la femme enseignante en Provence, ne sera pas autorisée à prendre sa retraite avant 90 ans !

La CFE-CGC réclame la prise en compte de la pénibilité physique mais aussi psychique, dans une démarche analogue à celle du Fonds de cessation anticipée d'activité des travailleurs de l'amiante (FCAATA).

Contact CFE-CGC : Bernard Salengro, secrétaire national au :

06 08 60 91 59

mardi 30 mars 2010

Ceux qui "savent" et ceux qui commentent !

Dans un article paru hier soir sur le site du Monde (cliquez ici), on apprend que les producteurs de l'émission "Rue des Entrepreneurs" seraient en litige avec la Direction de Radio France.

Ce papier a, de toute évidence, été rédigé par un sympathisant des personnes citées plus haut, voire "dicté" ?
La déontologie serait donc un "concept" pour certains titres de Presse, qui en seraient exonérés... privilège de la notoriété ?

Quant aux "auditeurs" de cette émission, qui déposent des commentaires sur le site, abonnés au Monde (il faut être abonné pour déposer un commentaire !), ils "savent" donc ils jugent !

"Qui n'entend qu'une cloche n'entend qu'un son", surtout à l'approche de Pâques !

Sans dévoiler ici tous les éléments de ce dossier complexe et sensible, nous invitons celles et ceux qui aimeraient en savoir plus sur cette pénible affaire, à demander à TOUS les intéressés leur version.
Par TOUS, nous entendons TOUTES les attachées de production qui ont vécu, et ce depuis de nombreuses années, ce qu'à vécu notre ancienne déléguée syndicale.

Les amalgames, les raccourcis faciles et les raisonnements "à deux balles"... sont indignes des médias (dits) sérieux !

La CFE-CGC soutient la Direction de Radio France dans son action, que cela plaise ou pas, au même titre qu'elle soutient le Président Jean-Luc Hees lorsqu'il excuse des dérives nauséabondes sur nos ondes publiques.


mardi 23 février 2010

Intersyndicale, le temps des propositions !

La CFE-CGC ne participera pas à la manifestation interprofessionnelle du 23 mars 2010 pour deux raisons.

• Parce que suite au sommet social du 15 février, le président de la République a annoncé une méthode et un calendrier assoupli concernant les retraites.

Ainsi, nous nous appuyons bien sur une proposition de texte du gouvernement pour septembre et non sur un passage en session extraordinaire devant le Parlement en juillet. La concertation sur le dossier des retraites démarrera après la remise du rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR) vers le 14 avril. Donc à ce stade, la CFE-CGC n’a pas de raisons pour descendre dans la rue : nous sommes encore dans une phase de propositions et de contre-propositions.

• Parce que le mot d’ordre de l’intersyndicale est trop vaste puisqu’il couvre l’emploi, les salaires, le pouvoir d’achat, les conditions de travail, les politiques publiques et les retraites.

Dans un contexte de crise économique et sociale sans précédent, la CFE-CGC entend agir au service de l’ensemble des salariés du privé comme du public dans chaque entreprise ou administration.

Nous devons trouver des solutions au plus proche du terrain avec l’ensemble des acteurs : c’est tout l’objet, pour le moment, d’une concertation et non d’une contestation.


jeudi 11 février 2010

La HALDE épingle Radio France !

Dans son rapport (cliquez ici pour le télécharger), la HALDE (Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l'Egalité) épingle Radio France ainsi que France Télévisions sur leur politique de gestion des ressources humaines !



mercredi 13 janvier 2010

L'année 2010 commence très fort: Monsieur Xavier Darcos, ministre du Travail, vient de nous offrir nos étrennes !

Notre premier tract de l’année fera date, et pour cause : Monsieur Xavier Darcos vient de prendre la décision d’annuler, pour incompétence, la décision de la Direction Départementale du Travail et de l’Emploi (DDTE), relative aux élections des Délégués du Personnel.

Cette décision fait suite au recours déposé par nos soins,
ainsi que par nos collègues du SNJA-FO.
.
Pour faire bref : vous allez revoter !

Nul doute que vous serez très prochainement surinformés par nos collègues des autres syndicats, ainsi que par la direction de Radio France sous forme de Texto.

mardi 5 janvier 2010

Excellente année 2010 !

La CFE-CGC Radio France vous souhaite, ainsi qu'à vos proches, une très bonne année 2010 !